Sa bite est entrée en moi pour ma plus grande satisfaction. Je jubile de cette douce sensation que me procure son gland qui traverse mon sphincter et s’enfonce profondément en moi. Je suis femme, je suis déniaisée de ma chatte anale et le plaisir est extrême. Ce paradis des homos, il existe bel et bien : j’y suis ! La tête me tourne tant je ressens du plaisir au niveau de mon rectum. Philippe arrive en butée et son bas ventre vient toucher mes fesses sans pouvoir avancer davantage. Il attend un instant et se recule jusqu’à ce que son gland soit sur le point de sortir complètement : il est au niveau de ma rosette qu’il distend ainsi au maximum. Que c’est bon ! Il retourne au fond lentement et il me mordille le lobe de l’oreille. J’en ai des frissons agréables tout le long de la colonne vertébrale et sa bite me réchauffe voluptueusement le rectum. Il avance et recule ainsi tout en me susurrant des mots magiques dans le creux de l’oreille qu’il mordille avec une telle délicatesse ! Il me dit que je suis bonne, que mon cul a été façonné pour lui procurer le maximum de bien-être en son intérieur, que mon cul est aussi agréable à pénétrer qu’à caresser… que je suis beau et qu’il souhaite que ces instants durent une éternité… qu’il aime tout mon corps et le goût de ma peau, qu’il aime mon odeur de femelle en chaleur…Le rythme de ses mouvements en moi s’accélère et cette fois, il sort son gland. Ma rosette reste ouverte et je perçois l’air qui s’engouffre en moi : une surprise toute aussi agréable que les précédentes. Mon bassin tangue et subit le roulis : mes bras et mes jambes flageolent tant je suis sur un nuage de bien-être. Philippe me retourne délicatement sur le dos, il écarte mes jambes et vient planter sa langue au travers de mes lèvres en même temps qu’il plante son dard au travers de mes lèvres anales. Mon râle de jouissance est étouffé dans sa bouche. Sa langue tourne contre la mienne avec une langueur voluptueuse tandis que sa verge en fait de même dans mon tréfonds. Je fonds de jouissance sexuelle. Alors que nos regards étaient plantés l’un dans l’autre, je ne trouve plus la force de maintenir les yeux ouverts : je lui suis totalement soumis, je suis sa femelle qu’il dirige et encule à sa guise, pour notre plus grande satisfaction commune.Mon bassin ne m’appartient plus : il oscille en tous sens et il lui appartient. Il s’en est rendu maître à ma plus grande satisfaction, p ...

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